Miss Anaïs, un atelier de haute-couture se mobilise pour filer des coups de main là où il peut. Ça a commencé avec des petites idées et ça finit par 60 masques par jour pour plusieurs hôpitaux. « J'ai commencé à réfléchir à la fabrication de masques dès que la crise s'est accentuée et que j'ai appris que le personnel médical manquait de tout. Dans la même période, j'ai été contactée par une amie de l'hôpital Razi pour une demande urgente de masques barrière lavables... » fait savoir à Tunisie.co, Myriam Riza, propriétaire de la marque.
En savoir plusLa créatrice tunisienne Myriam Riza arrange un masque de protection coordonné à la tenue portée par un mannequin, dans l'atelier de confection de sa marque Miss Anaïs, à Tunis, le 18 avril 2020. Elle confectionne et vend des masques en tissu lavables aux normes sanitaires françaises. Mais elle fait aussi des dons quotidiens de masques de protection au personnel des hôpitaux de la capitale tunisienne, chargés de soigner les malades du Covid-19. [©Fethi BELAID/AFP]
En savoir plusSeamstresses make masks in the workshop of the brand Miss Anais haute couture in Tunis,Tunisia, 11 April 2020. Myriam Rouissi Riza, owner of the Miss Anais brand, decided to manufacture and distribute masks on a voluntary basis to hospitals. Myriam proudly confides that these masks are indeed 'products made according to sanitary standards with two cotton layers and a fleece layer superimposed for its filtering properties'. The Tunisian Ministry of Industry announced on 06 April 2020 the decision to make the wearing of masks compulsory in Tunisia, in anticipation of the gradual resumption of activity at the end of the confinement period. EPA/MOHAMED MESSARA
En savoir plusEn Tunisie, deux grans noms de la haute couture : Raoudha Riza (Anaïs Couture) et Myriam Riza ( Miss Anaïs ) volent au secours des hôpitaux en leur procurant gratuitement, des masques barrière contre le covid19 Dans leur atelier sis à Gammarth, la mère et la fille qui partagent des valeurs communes de solidarité, se sont lancées spontanément dans cette noble activité pour sauver des vies ... nos vies !
En savoir plusA seamstress makes masks in the workshop of the brand Miss Anais haute couture in Tunis,Tunisia, 11 April 2020. Myriam Rouissi Riza, owner of the Miss Anais brand, decided to manufacture and distribute masks on a voluntary basis to hospitals. Myriam proudly confides that these masks are indeed 'products made according to sanitary standards with two cotton layers and a fleece layer superimposed for its filtering properties'. The Tunisian Ministry of Industry announced on 06 April 2020 the decision to make the wearing of masks compulsory in Tunisia, in anticipation of the gradual resumption of activity at the end of the confinement period. EPA/MOHAMED MESSARA
En savoir plusTunisian seamstresses make designer protective masks at the workshop of the Miss Anais haute couture brand in the capital Tunis, which donates 60 masks daily to staff at hospitals caring for Covid-19 patients. AFP
En savoir plus"TUNISIA-HEALTH-VIRUS Tunisian designer Myriam Riza at the haute couture workshop of her Miss Anais brand in the capital Tunis, on April 18, 2020, which donates 60 masks daily to staff at hospitals which care for COVID-19 patients. by FETHI BELAID/AFP via Getty Images)
En savoir plusMISS ANAÏS ouvre son atelier pour la fabrication de masques à destination des hôpitaux
En savoir plusMyriam Riza-Rouissi est une styliste tunisienne. Une passion qu’elle a hérité de sa mère, elle aussi styliste. Robes haute-couture, jupes, pantalons, la jeune femme a réussi à se faire un nom dans le monde de la mode tunisienne.
En savoir plusFace à la pandémie de coronavirus et face aux manques flagrants dans les hôpitaux, le personnel soignant est en première ligne devant le virus. Le manque de masques se fait sentir en ne faisant qu’aggraver la situation avec un Etat qui n’arriver plus à contrôler la situation. Myriam Rouissi Riza, propriétaire de la marque Miss Anais fille de Raoudha Riza fondatrice de la marque Anais, a toujours eu cette éducation citoyenne lorsque le besoin se fait sentir dans son pays.
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